La philosophie coréenne
En Corée, la philosophie remonte à plus de deux mille ans. La philosophie coréenne traditionnelle est axée sur un ensemble de vision du monde. Le contenu émotionnel du chamanisme , et l’imprévisible, et certains aspects de néo-confucianisme ont été intégré. La pensée traditionnelle coréenne a été influencée par un certain nombre de religions et de philosophies au fil des ans. Comme les principales influences sur la vie en Corée , souvent le chamanisme coréen , le bouddhisme et le confucianisme ont façonné la vie et de la pensée coréenne. Aujourd’hui un peu plus de 53 pour cent des Sud-Coréens( 49M d’hbts) affirment une appartenance religieuse. l’affiliation est réparti principalement entre trois traditions – Bouddhisme (22,8 pour cent), le protestantisme (18,3 pour cent), et le catholicisme . (10,9 pour cent) L’impact culturel de ces mouvements est beaucoup plus répandu que le nombre d’adhérents formels suggère. Une variété de «nouvelles religions» ont vu le jour depuis le milieu du 19e siècle, y compris Cheondoism et l’ Eglise de l’Unification .La communauté musulmane grandie aussi en raison d’une immigration qui augmente. Bien qu’il existe une distinction claire entre les adeptes d’une religion et non-croyants avec la population chrétienne, il y a beaucoup d’ambiguïté dans les statistiques de la religion en Corée du Sud. Cela est principalement dû au fait qu’il n’existe pas de critère précis ou exclusif par lequel les bouddhistes peuvent être identifiés. La lignée de refuge , un engagement qui distingue bouddhistes et non-bouddhistes, s’est désintégré en Corée. Avec l’incorporation du bouddhisme dans la culture traditionnelle coréenne, il est maintenant considéré comme un arrière-plan la philosophie et culturelle plutôt qu’une religion officielle. En conséquence, beaucoup de gens en dehors des groupes formels sont profondément influencés par ces traditions. En outre, il n’est pas rare que des non-pratiquants Coréens aillent prier dans les temples bouddhistes, participer à des rites confucéens anciens, et même consulter un chaman …))) La situation actuelle Le Seon école, qui est dominé par l’ordre Jogye en termes de nombre de temples, le clergé et les adhérents, les pratiques disciplinaires pratique Seon traditionnel à un certain nombre de monastères de montagnes en Corée, souvent sous la direction de maîtres réputés. L’ordre taego est la deuxième en importance et, en plus de la méditation Seon, conserve les arts traditionnels bouddhistes vivant, comme la danse rituelle. Seon pratique moderne n’est pas très éloignée de la teneur de la pratique originale de Jinul , qui a introduit la combinaison intégrée de la pratique de la méditation Gwanhwa à l’étude d’une sélection de textes bouddhistes. La vie coréenne sangha est nettement itinérante: alors que chaque moine a un «foyer» monastère, il va se rendent régulièrement dans les montagnes, en restant aussi longtemps qu’il le désire, étudier et enseigner dans le style de tout ce monastère . Le système de formation monastique coréenne a connu un afflux sans cesse croissant de praticiens occidentaux-aspirants dans la seconde moitié du XXe siècle. Actuellement, le bouddhisme coréen est dans un état de transition lente. Alors que la théorie dominante derrière le bouddhisme coréen a été basée sur Jinul l ‘”illumination soudaine », le Seon zen coréen essaie de se moderniser bien qu’il y ait une résistance au changement dans les rangs de l’ordre Jogye… on applique la philosophie du taegeuk dans la pratique des arts martiaux coréens..; mais ça c’est une autre histoire…...
Read MoreYoga
Yoga assis Déroulement de dix-sept mudras en position assise, le plus lentement possible dans un relâchement maximal pour atteindre un état de relaxation totale. Yong dong hip kwan : yoga debout Jonction entre la famille des Qi-Gong et des tchi dae tché. C’est un yoga qui peut se pratiquer en postural ou aligné sur la respiration. Cela permet d’atteindre un état de relaxation total dans une concentration extrême....
Read MoreVipassana
Asseyez-vous dans une position confortable et propice à la vigilance. En lotus mais pas forcément, ce qui compte c’est que vous soyez dans une position confortable. Ensuite, restez ainsi pendant 10 à 30 minutes(suivant votre niveau et le temps libre). La colonne vertébrale et la nuque doivent être bien droites. Fermez les yeux, respirez normalement. Restez autant que possible immobile, ne modifiez votre posture que si c’est absolument nécessaire. La chose essentielle à observer est le mouvement du ventre, juste au-dessus du nombril, à chaque inspiration et expiration. Ce n’est pas une technique de concentration, votre attention sera donc sollicitée par beaucoup d’autres choses. Dans Vipassana, rien n’est considéré comme une distraction. En d’autres termes, quand quelque chose se manifeste, cessez d’observer votre souffle, centrez votre attention sur l’événement du moment jusqu’à que vous puissiez retourner au souffle. Il peut s’agir de pensées qui vous traversent l’esprit, de sentiments, de jugements, de sensations physiques, d’impressions suscitées par des stimulis extérieurs, etc. Le point significatif est la vigilance et non l’objet de l’attention. Veillez donc à ne pas vous identifier avec ce qui entre dans la sphère de votre conscience. Restez simplement présent et vigilant. Cette technique n’est pas forcément évidente et autant elle peut calmer le mental si elle vous correspond, autant elle peut être un obstacle si elle ne vous est pas adaptée. Essayez et si vous sentez bien, continuez et sinon arrêtez et essayez en une autre, plus énergétique peut-être comme les méditations actives. Dans les cas où vous auriez des difficultés avec la méditation Vipassana, je vous recommande d’essayer des techniques de méditation plus actives(sonmudo partie dynamique) ou encore d’autres types de phases pour pouvoir se débarrasser du gros de la poubelle du mental avant de l’observer. Ou encore, il peut-être judicieux de travailler sur d’autres domaines : votre alimentation (par la phytothérapie par exemple), sur votre corps (massage, soins holistiques, médecines douces), sur vos blessures intérieures (thérapie primale), sur votre famille (constellation familiale), sur votre stress quotidien (méditations actives)… etc. Bien sûr, vous l’aurez compris, tout ceci est une contradiction. D’un côté, la méditation est simplement de la vigilance, de l’observation sans effort. En théorie, elle ne nécessite aucune méthode, aucun ajout. Vipassana est parfaite, c’est l’essence de toutes les méditations. Mais, de l’autre côté, notre mental est aujourd’hui tellement stressé, compliqué, rempli d’inhibitions et de connaissance intellectuelle, qu’il faut des techniques pour nous couper des rêves, du passé, du stress et nous ramener dans l’Ici et le Maintenant. Cela ne se fait plus automatiquement. Pour beaucoup de gens, Vipassana ne peut pas suffire, elle peut même être dangereuse. Bien sûr, elle plaît, elle attire. Mais elle attire surtout notre ego. Il faut faire très attention car elle peut être négative. Surtout, si vous n’avez pas fait de travail thérapeutique sur vous-même ou encore si vous êtes nouveau dans la méditation. Beaucoup de personnes verront en faisant Vipassana qu’ils s’endorment presque systématiquement, qu’est-ce que cela signifie ? Comme c’est une méditation silencieuse où on se relaxe, le mental reçoit le message que c’est le moment de s’endormir. C’est ce qu’il connaît. Mais, le problème, c’est que VIPASSA CE N’EST PAS DORMIR, c’est la VIGILANCE. Et du coup, on passe facilement à côté de la méditation. La pratique de Vipassana est difficile parce que le flux incessant de nos pensées nous envahit avec encore plus de force qu’à l’accoutumé (surtout au début). Une autre difficulté qui se manifeste plus tard est une léthargie sans contenu mental que plusieurs peuvent confondre avec la paix intérieure alors qu’il s’agit de découvrir un état d’éveil lucide, pétillant et spontané....
Read MoreLexique
Passage de grade : « SHO DAN » 1er Dan « IL » : reçoit une ceinture bleue (vent, volonté) 2ème Dan « I » : reçoit une ceinture blanche (métal, concentration) 3ème Dan « SAM » : reçoit une ceinture rouge (feu, renoncement) 4ème Dan « SA » : reçoit une ceinture noir (eau, oeil de la sagesse) 5ème Dan « OH » : reçoit une ceinture jaune/orangé (terre, coeur uni) Les nombres Ordinaux 1er : Il 2ème : Yi 3ème : Sam 4ème: Sa 5ème : Oh 6ème : Youk 7ème : Tchil 8ème : Pal 9ème : Gou 10ème : Sip Cardinaux 1 : Ha Na 2 : Doul 3 : Set 4 : Net 5 : Dassot 6 : Yossot 7 : Il Gop 8 : Yodol 9 : A hop 10 : Yol Lexique : Quelques mots de Coréen Anio Acéo , Annyon Assip Syio : bonjour Kamsa Hamnida : merci Né : oui Anyo : non Généralités Toromachigo : Inspirer Néchigo : souffler / expirer Tchoukpi : bâton de bambou pour le salut Sho Dan : passage de grade, 1er DAN Tcha Lyeut : garde à vous Kyoné : saluez Joun bi : position en attente de départ Si Jak : commencer Geu man et/ou Cho : arrêter Twilo Tora : demi-tour Tio : sauter Anatomie Joumok : le poing Me joumok : marteau du poing Ann Palmok : partie interne de l’avant bras Batang sonn : paume de la main Ap Tchouk : bol du pied Twit chouk : talon Sonnal : Tranchant de la main Positions et mouvements MAKI : défense Aré Maki : défense, niveau bas Monton Maki : défense, niveau moyen Oulgoul Maki : défense, niveau haut SOGUI : Position de jambe Ap sogui : petite position de marche Ap Koubi : grande position, fente avant Djou choum sogui : position cavalier Duit Koubi sogui : poid du corps jambe arrière TCHAGUI : coup de pied Ap Tchagui : vers l’avant Pendal Tchagui : circulaire Tolio Tchagui : circulaire traversé Nélio Tchagui : de haut vers le bas Mondolio Tchagui : circulaire dans le dos Yop Tchagui : sur le côté TCHIGUI : attaque Djileugui : coup de poing Entrainement mains ouvertes : « Tchang Kong » Tchan Tchileugui : poussées de mains. Tchang Tchon Ap Tchagui : coup de pied jambe tendue, mains ouvertes sur les côtés. Tchang Tchon Yop Tchagui : coup de pied côté. Entraînement poings fermés : « Kwan Djok » Kwan Djok Ap Tchagui : coup de pied plié/tendu devant, avec bras en balancier poings fermés. Kwan Djok Yop Tchagui : coup de pied côté, poings fermés. Kwan Djok Tché Tchiki : – attaque au milieu avec le poing : « Tchoum Dan » en équilibre sur une jambe, l’autre pliée talon prés de la fesse, bras tendu vers l’avant, poing fermé. – attaque en bas : « Ha Dan » en équilibre sur une jambe, l’autre pliée talon prés de la fesse, bras tendu vers le sol, poing fermé. Kwan Djok Duit Tchagui : coup de pied arrière avec coup de poing avant (bras et jambe inversés) Entraînement Circulaire : « Hoï Kong » Piwi Kong : – Tchion wi kong : bras gauche vers l’avant. – Fou hoi Kong : bras gauche vers l’arrière. – Ne hoi Kong : devant ventre , en dedans. – O wi Kong : devant ventre , en dehors. Hoï Djock : – Ne hoï djock : coup de pied jambe tendue...
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