jusqu’au bout des doigts
Sorry, this entry is only available in Français. For the sake of viewer convenience, the content is shown below in the alternative language. You may click the link to switch the active language. Sonmudo… jusqu’au bout des doigts La main est un vecteur. Récepteur. Transmetteur d’énergie important. Dans la pratique martiale, il est l’outil amenant l’énergie vers l’adversaire pour le stopper, dévier ou saisir. Tranchant, pique des doigts, plat ou dos de la main,dessus du poing, phalange, etc… Si cette énergie peut être vers un adversaire ou partenaire , elle peut aussi être tournée vers soi pour le soin. À partir de quelques exercices relativement simples, on peut capter la bonne énergie de l’union ciel-terre pour en ramener la quintessence. La posture kikong de la GRUE permet de réguler l’énergie CŒUR et les organes concernés par l’orientation de l’union du bout des doigts en crochet vers le buste. Ce pic des doigts réunit est utilisé en percutions, dans sa version martiale, vers certains points vitaux. Dans la position du TIGRE et de la TORTUE, bien que les méridiens concernés soient différents, on pose le bout des doigts à la terre. Ce qu’on appelle les Points Curieux de la main (Shi Xuan). Cela ouvre les sens, recentre le mental, draine et évacue la chaleur, soulage les crampes. Dans ce cas, il ne faut pas basculer tout le poids du corps dans les doigts mais exercer une petite pression mesurée pour activer ces points. Masser son ventre avec les paumes de main comme nous le faisons à l’issue du yoga assis est bon pour l’énergie vitale. Pour les reins il vaudrait mieux utiliser le dos de la main ou le poing fermé. Dos de la main : yin. Plat de la main : yang. En pratique martiale lorsque vous fermez le poing, le majeur (maître cœur) touche le centre de la main, point Laogong , vous captez mieux l’énergie ( bien sûr en pratique kikong aussi ! ). Il y a d’autres points d’entrée et de sortie. D’autres portes d’énergie importants. Mais c’est une autre histoire… « ne laisse pas moudre ton blé par d’autres mains que les tiennes. Il n’y de bien fait que ce qu’on fait soi même… » « qui n’a pas les mains ouvertes a le cœur fermé… » FF ...
Read Morecirculation du KI
Sorry, this entry is only available in Français. For the sake of viewer convenience, the content is shown below in the alternative language. You may click the link to switch the active language. Sonmudo et circulation du Ki La clé : la méditation Plus vous demeurez détendu pendant l’effort , le geste , l ‘enchaînement, plus le Ki ( énergie ) circule bien . La notion de puissance est intéressante mais dans nos pratiques elle est l’effet du relâchement et non de la volonté de forcer. La puissance donc, dépend du courant émis, de la résistance musculaire et énergétique à l ‘effort. Souvent Les pratiquants disent “j’étais plus relâché, c’est mieux passé” . Si nous manifestons la volonté de mettre de la force physique le corps se tend . Ça augmente la résistance musculaire et donc, l’ énergie se trouve piégée dans les muscles et les organes saturant le système. Dans les sports où c’est indispensable, il faudra apprendre à relâcher dès que possible pour une meilleure récupération et relance du système .c’est plutôt suivant ce principe que fonctionnent les arts martiaux externes se focalisant plus sur la capacité musculo-tendineuse allié au temps de reaction-anticipation. L’approche suivie par nos styles internes souples et le kikong zen est différent . Mais pourrait être bien complémentaire . La fluidité de circulation énergétique et de la commande électrique est prioritaire. Dès lors les pratiquants concentrent leur attention à cultiver un meilleure flux énergétique. Relâchement articulaire , mental et gestuel. (Le geste est créateur d’énergie et l’homme est conçue pour ) À cette fin , la méditation est d’une importance cruciale. Puisqu’elle favorise la concertation du mental sur la notion de relâchement à l’effort. Et favorisera la circulation du Ki.réduisant la résistance et les tensions. C’est une des raison en dehors de l aspect culturel qui fait que la méditation est la clé. Dans la réalisation des enchaînements martiaux longs on cherchera donc le juste milieu d’une pratique tonique et relâchée à la fois . Idem en combat; le cerveau moins mobilisé par l ‘action elle même pourra gère la fluidité de la réponse approprié en tenant compte de l’environnement ́ de façon plus consciente. Méditation , kikong et yoga viendront alimenter et soigner tout cela. Bonne pratique zen FF...
Read MoreTAN DJONG : La mer de l’énergie
Sorry, this entry is only available in Français. For the sake of viewer convenience, the content is shown below in the alternative language. You may click the link to switch the active language. Il est important de conscientiser l’emplacement de Tan djong, son rôle de soufflet, et de « coeur-noyau » qui aide à affronter tous les défis, tant physiques, qu’émotionnels. Tout être humain, avec un peu d’entraînement, est capable d’ouvrir les yeux sur une dimension totalement nouvelle de l’existence grâce au travail de ce point. Tan djong se situe 3 doigts environ sous le nombril. C’est le point central d’équilibre de tout le corps, mais vous ne le verrez jamais de vos propres yeux ! Imaginez une sphère orangée, translucide. Cette sphère est située dans la poire d’un compte-gouttes imaginaire, dont le bout de la pipette se trouve à la jonction du nez et de la gorge. Cette poire peut gonfler ou se rétracter sur votre simple volonté. Plus vous allez y penser, et plus il sera facile de contrôler votre respiration, par la visualisation. Le fait de ne plus penser « nez » ou « bouche » pour inspirer et expirer, va vous amener aussi un centrage supplémentaire, et plus interne. L’avantage de cette respiration ventrale n’est pas de remplir d’air l’abdomen, mais de dilater la paroi abdominale pour abaisser le diaphragme, muscle membrane important pour son rôle charnière dans toutes les fonctions vitales. Commencez pour l’instant à simplement vous entraîner plusieurs fois par jour à vous centrer sur l’arrière gorge, et descendez en suivant le « tube » qui traverse la poitrine jusqu’ au fond du plancher pelvien qui va actionner Tan djong . Ce qui est très intéressant, c’est de bien visualiser ce mouvement du haut vers le bas (ciel-terre) mais par inspiration, et du bas vers le haut, (terre-ciel) par expiration … Considérés comme un centre de Ki ou énergie de force de vie, les Tan djong sont des points de référence importants dans quasiment toutes les pratiques internes incluant la méditation, ainsi que dans les arts martiaux et la médecine traditionnelle chinoise. Le Tan djong inférieur est particulièrement important pour les techniques de respiration ainsi que le développement du centre de l’équilibre et de gravité. Tan djong est le point de convergence pour la transformation des trois trésors Jing , Ki et Shen. Ki peut être considéré comme une substance quand il est stocké sous la forme d’essence ou Jing, ce peut être affiné par le réchauffement dans ce “chaudron” et plus loin encore dans Shen (coréen Shim) qui ressemble plus à la conception occidentale de l’esprit (souvent traduit ainsi). Les maîtres et instructeurs de Sonmudo commencent souvent à enseigner à leurs élèves à centrer l’esprit dans le Tan djong inférieur. Ça aide à contrôler les pensées et les émotions. Agir sur Tan djong est considéré comme la porte pour accéder à des états supérieurs de la conscience ou Samadhi. Beaucoup de traditions considèrent les Tan djong et les Chakras comme séparés mais on admet et on observe de plus en plus qu’ils coopèrent. Le Tan djong se réfère généralement à celui du bas sous le nombril bien qu’il y en ait 3. Il faut ajouter celui du thymus et de 3ème oeil glande pinéale… il est considéré comme le fondement de l’enracinement, la respiration, et la conscience du corps dans le kikong et les arts martiaux . Le Tan djong inférieur a été décrit comme la racine de l’arbre de vie…☺ BONNE PRATIQUE !...
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